Autrefois, à l’occasion du Têt, il était de coutume pour les Vietnamiens d’aller chez un maître ou un lettré pour lui demander de rédiger deux sentences parallèles qu’on exposait ensuite chez soi. Ces arabesques rendaient la maison plus belle et traduisaient l’engouement de ses occupants pour les études. Aujourd’hui, cette tradition a été simplifiée, mais l’essence en demeure la même.